PREMIER PERSONNAGE
Louhan Sloven Callahan

PRÉNOMS Louhan. NOM Callahan. ÂGE 21 ans. DATE DE NAISSANCE (oubliez l'année) 15 mai . LIEU DE NAISSANCE Walley, Tennessee. MÉTIER/ÉTUDE Au chômage. ORIENTATION SEXUELLE Bisexuelle. STATUT Célibataire. ÂGE & LIEU DE DÉCÈS 21, Walley. À QUOI RESSEMBLAIT VOTRE PERSONNAGE L'apparence douce et agréable à regarder, Louhan était d'un incroyable peau mate, une longue chevelure rousse-brune légèrement ondulé qu'elle aimait lisser de temps en temps. Les traits plutôt fin, elle avait tout pour plaire et un joli sourire qui en a fait craqué plus d'un. Emma Stone.

CARACTÈRE, TICS, HABITUDES & MANIES Comme peu de jeune fille à l'heure actuelle, Louhan ne passait la main dans ses cheveux pour les remettre en place, elle les laissaient tel qu'ils étaient. Souvent, elle avait une mèche rebelle par-ci ou par-là mais ça lui donnait un petit charme que les autres n'avaient pas. Les gens l'ont toujours vue comme une personne différente d'eux, à l'écart. Ella a horreur des gens qui fume et ne supporte tout simplement pas la fumée. On pourrait croire que ce n'est pas pour gâcher sa santé mais ce n'est pas le cas. Elle a déjà touché à la drogue à en être quasiment dépendante. Elle est très féminine, elle a d'ailleurs une très belle écriture, fine et bien symétrique. Elle est droitière et dort naturellement du côté droit du lit quitte à en tomber au court de la nuit. Elle n'aime pas les lit une personne depuis son plus jeune âge, elle les considère trop petit et ne peut pas prendre la place qu'elle veut. Elle adore la danse et se débrouille bien, bien qu'elle ne l'a jamais pratiquer. Elle a un faible pour les hommes aux yeux bleus ou bruns chocolat, elle les trouve terriblement sexy.


Jolie petite histoire

Les parents sont censés aimer leur enfants. Prendre soin d'eux, les protéger, les aider quand ça ne va pas. C'est le rôle de chaque être humain sur cette terre qui décide d'avoir un enfant. Mais il y a toujours une exception. « Vous allez avoir des jumeaux... Oh attendez, je peux vous donner le sexe.. » Les parents étaient choqués de cette annonce. Deux enfants ? C'était trop ! Les mois passèrent et l'accouchement approchait à grand pas seulement, ils n'étaient toujours pas prêt à accueillir deux enfants. Ils prirent donc une décision qui changerait sans doute le restant de leur vie. N'en garder qu'un et faire adopter l'autre. « Félicitation, ce sont deux jolies petites filles ! » La jeune mère était presque aux anges. « Voulez-vous les tenir dans vos bras ? » Proposa le médecin avant de se tourner, de prendre l'un des bébés et de l’amener aux côtés de ses parents, il plaça le jeune enfant dans les bras de sa mère et parti chercher la deuxième fille. « Attendez.. » Le médecin s’arrêta et fit face aux jeunes parents, il abordait une mine interrogatrice. « N'allez pas chercher la deuxième.. Nous ne voulons pas la voir, sa famille d’accueil doit l'attendre. » Madame Mayor avait parlé pour son mari et elle. Elle ne semblait pas être aussi atteinte de ses paroles que son mari. La décision avait été prise depuis des mois et il n'était pas question de faire marche arrière.


« Noooooooooooon !! Nooooon, lachez-moi ! » Criais la jeune fille qui tentait de se débattre désespérément. « Pourquoi tu me fis ça ? » Lâcha-t-elle la voit brisé par les sanglots. L'homme qui regardait la scène se dérouler ne bougea pas d'un pouce, il ne daigna même pas bouger le petit orteil. « Écoute ma chérie.. C'est pou ton bien. » Son visage était blême mais aucune émotions ne se fit ressentir. Cette phrase tout droite sortie de la bouche de son père fut la goûte d'eau qui fit déborder le vase. « Pour mon bien ? Mais quel genre de père es-tu ? » Elle arrêta de se débattre à bout de force, tellement blessé par la décision de son père.


« Savez-vous pourquoi êtes-vous ici ? » Demanda une voix lointaine, tirant Louhan de ses pensées. « ... » Elle garda le silence, jetant un bref coup d'oeil à la femme en face d'elle qui tenait un carnet entre ses mains. C'était une vieille femme, la longue chevelure grise attachée en chignon, des perles blanchâtres comme boucles d'oreilles et des vieilles lunettes sur le nez qui décorait son visage. Elle portait un tailleur qui s’accordait parfaitement avec la couleur de ses cheveux. « Il parait que vous avez grillé un feu roue après avoir bu de l'alcool et que vous avez causé un accident. » Louhan regarda à nouveau la femme. Elle ferma les yeux en espérant qu'une fois qu'elle les ré-ouvrirait, elle se réveillerait dans son lit chez elle. « C'est une erreur » Elle souffla. « C'est bon, on a fini ? » « Savez-vous que le conducteur de l'autre véhicule est mort ? »


Il suffit d'un simple acte pour qu'une multitude d’erreurs suivent et gâche une vie. Faire un mauvais pas signifie peut-être la fin d'une vie, la fin de deux. Il suffit d'une seconde pour que tout bascule. Un choix est fait et le destin se créer autour de cette décision qui vous perdra.

Dans un silence des plus ténébreux et destructeur, Louhan était livrée à elle-même. Elle se battait pour du vent. Seule dans cette pièce aux quatres murs si froid, elle croupissait. L'espoir s'envolait peu à peu laissant place à la noirceur de l'enfer. Tout signe de joie avait quitter son visage qui devenait si terne. Même plus un sourire ne daignait s'afficher dessus. Son regard autrefois tellement joyeux laissait place à un regard vide qui ne laissait rien ressentir. La vie l'avait comme quitté, il ne restait plus que son ombre. Recroqueviller, les genoux contre sa poitrine sur un lit de moins confortable, les parles d'eaux glissaient longuement le long de ses joues rosies. Soudain, différents bruits de pas de firent entendre dans les environs. Elle avait l'impression de connaitre ces raisonnements parfait. Ils signifièrent qu'un nouvel interné était arrivé. Elle ne pris pas la peine de se lever. Une porte claqua et ses bruits incessant devinrent muet, il ne restait plus que l'écho de ses pleurs étouffés.

Le lendemain, lors du déjeuné, elle se rendit à la cantine les pieds trainant au sol. « Lèves les pieds s'il te plait ! » Fit une voix. Louhan continua son chemin sans rien changé dans sa démarche hasardeuse. « Je vous emmerde ! » Souffla-t-elle désespérée. Elle alla chercher un plateau, la nourriture placée dessus lui semblait tout bonnement dégelasse comme chaque jours. Elle s'assit à sa place qui était devenue la sienne depuis sont arrivée. Comme tous les jours, elle était seule, pas l'ombre d'un être vivant à ses côtés. Elle commença à manger quand l'impensable se produit. « Je peux m'asseoir ? » Demanda une petite voix féminine. « Pourquoi tu demandes, t'es déjà assise ?! » Quelle jovialité. Louhan ne tourna même pas la tête, elle n'avait aucun besoin de savoir qui avait eu le courage de prendre place à ses côtés. «Tu pourrais faire preuve d'un peu de gentillesse ! » « Dixit la fille qui s’assoie avant même d'en avoir le droit ! » Elle souffla, déposa sa fourchette dans l'assiette à peine vidée et tourna enfin le visage vers l'opportuniste. Elle fut frappée de plein fouet par la ressemblance qui les reliaient, elle aurait crut se regarder dans un miroir. Elle se tut choqué. Son interlocutrice ne disait rien non plus, un silence de mort planait. « Laisse-moi deviner, t'es nouvelle ? » Elle baissa un peu la garde sans pour autant être gentille. « Ça se voit autant que ça ? Je suis Rowan et toi ? » La brunette sourit. En voyant ce doux sourire arroché aux lèvres, Louhan monta à nouveaux sur ses garde, un profond sentiment de jalouse en elle. Le sourire de l'inconnue aurait pu illuminer la pièce alors que le sien n'existait plus. « Attend, tu crois vraiment qu'on va devenir les meilleures amies du monde ? » Elle se leva d'un bon et lui tourna le dos.

La suite ne vaut même pas la peine d'être raconté, fidèle à elle même, a mené la vie dure à cette Rowan qu'elle ne pouvait décidément pas encadrer, toute les pires méchancetés possible et inimaginables y sont passé. Elles n'hésitaient pas à se faire les coups les plus bas. Elles se haïssaient et personne n'osait les approcher dès qu'elles se retrouvent face l'une de l'autre. Cette rivalité les avait même était jusqu’à les conduire tout droit à la cellule d'isolement mais le pire n'était pas cette pièce sans issue, non, le pire était que Rowan était condamnée à vivre dans la même pièce d'elle pour une durée indéterminée ! « Bouge ton gros cul de là, veux-tu, j’aimerai m’asseoir ! » Lui rétorqua Louhan en s’asseyant sur le vieux lit crasseux tout en prenant soin de pousser sa camarade par terre. Celle-ci grogna avant de se relaver et de se poster en face de la brunette. « C’est quoi ton problème à la fin ? » « Mon problème ? » Louhan rigola ironiquement comme elle savait si bien le faire et répondu froidement. « C’est toi mon problème ! » Cette phrase fut le déclenchement d’une bagarre des plus violente. Les jours passèrent mais rien ne changeait. Pour s’occuper l’esprit, Louhan se mit à décorer son espace de vie comme elle le pouvait avec le peu de ses affaires personnelles qu’elle avait droit à avoir, parmi elle, se trouvait une photo d’elle et son père. Elle prit l’image dans ses mains et le contempla longuement. Elle tenta de retenir du mieux qu’elle pouvait les sanglots qui ne demandaient qu’à dégouliner le long de ses joues. Son ennemie qui se trouvait derrière elle, de son côté de la pièce, l’observait discrètement, le bruit des pleurs étouffé retenait son attention. Si bien, elle se leva et s’approcha en douceur de Louhan. Arrivée à sa hauteur, elle cru tomber de haut en apercevant la photo qu’elle tenait en main. Louhan finit par déchirer la photo tout en essuyant ses joues du revers de ses mains. Elle se retourna et se retrouva presque nez à nez avec Rowan. « Que fais-tu là ? » A nouveau, ses paroles furent d’une sècheresse incroyable. « Qui.. qui est cet homme ? » « Qu’est-ce que ça peu bien te foutre ? » La camarade de chambre de Louhan blêmit légèrement sous son regard interrogateur. « C’est mon père, répondit à nouveau Rowan. » Elle lâcha un rire nerveux et railleur à la fois. « T’es une petite marrante toi ! Cela dit, je ne trouve pas ça marrant. » Elle était sérieuse et le fait que son ennemie osait se moquer d’elle sur ce sujet tabou lui faisait énormément de peine. Sans doute était-ce son point faible. Pour toute réponse, Rowan se leva, alla farfouiller quelques instants avant de revenir à ses côtés, une photo à la main. « Regarde. » Elle regarda la photo. Le ciel lui était comme tombé sur la tête, elle venait de recevoir un coup de massue en plein cœur et un dans le dos. « C’est mon père aussi.. » Souffla-t-elle à bout de souffle. « Tu.. est ma sœur. » Les mots qui venait de sortir de sa bouche l’avaient presque étranglée. Comme du jour au lendemain, la personne qu’elle détestait le plus se retrouvait être en réalité sa sœur. Cette découverte fut un nouveau tournant dans leur relation, laissant leur rancœur et leur méchancetés de côtés, elles apprirent à sa connaitre. Elles se découvrirent de nombreux point commun et aussi impossible que ça semblait l’être, elles commencèrent à s’apprécier jusqu’à en devenir inséparable.

La guerre finie, elle retrouva une vie un peu plus normale bien qu’elle était toujours enfermée dans le centre de redressement. Comme une fois par semaine à peut-près, un nouveau jeune faisait son entrée, les délinquants se précipitèrent pour voir de qui il s’agissait sauf Louhan et sa sœur qui restèrent tranquillement dans leur coin à parler de tout et n’importe quoi. Il fallait bien avouer que cette chère Rowan était parvenue par sa seule présence à égayer un peu sa vie. Le nouveau venu était un jeune homme. Dès son arrivée, il avait posté son regard sur la silhouette de Louhan sans plus jamais la quitter. « Je peux m’asseoir ? » Lui avait-il demandé le jour même de son arrivée. « Non, c’est pris. » Et elle le remballa en beauté ce qui le fit sourire. Le lendemain, il revint à la charge et il continua les jours suivant, il ne lâcha pas prise, à croire que son passe temps favori était de se faire remballer par Louhan. « Demain soir, rendez-vous à la cafet’ à 22h. » Lui avait-il soufflé dans l’oreille. « Ne sois pas en retard. » Il lui avait fait un clin d’œil avant de lui glisser un léger baiser sur la joue. « Rêve mon coco. Et puis, c’est l’heure du couvre feu. » Avait-elle rétorqué mais il avait déjà disparu. Ce qu’il avait le don de la mettre dans tous ses états. Peut-être qu’elle se servait de l’excuse du couvre feu juste comme excuse pour ne pas aller la rejoindre. L’attention qui lui portait lui plaisait, elle se sentait femme. Elle se sentait belle et désirée tout simplement. Le soir venu, en fin de compte, elle décida de le rejoindre. Ils passèrent une soirée de rêve qui se conclu par un doux baisé. Elle était retournée à sa chambre chamboulée, l’estomac noué. Elle ne comprenait pas ce qu’il s’était passé alors qu’auparavant, elle se foutait royalement de lui. Le lendemain lors du déjeuné, affichant un peu sourire aux lèvres, Louhan rejoignit la cafétéria et tomba nez à nez avec celui dont elle croyait être la seule à être courtisée, faire du charme à une autre. Elle passa son chemin tout en faisant comme de rien n’était mais la jalousie remplissait son regard ce qui amusa par-dessus tout le jeune homme. « Suis moi, je te fuis, fuis moi, je te suis ! Mon cul oui ! » Elle regarda sa sœur, assise à côtés d’elle, elle venait de lui expliquer son histoire de la veille. Elle l’évita toute la journée mais dès qu’elle l’apercevait, elle ne pouvait pas se résoudre à détourner le regard. Les jours suivant furent pareil, toujours la même chose, elle en tait blasé.

« Je peux entrer ? » Il était là, face à elle avec sa petite gueule d’ange comme si il venait se faire pardonner. « Ne demande pas si tu es déjà dans la chambre. » Dit-elle légèrement blasé. « Tu es jalouse ? » Elle rigola ironiquement tout en s’allongeant dans son lit. « Moi jalouse ? Et de quoi ? » « Que je fréquente d’autres filles ? » « Tu rigoles j’espère ? Tu n’es pas le seul mec au monde à se que je sache. » Elle lui afficha un sourire avant de regarder le plafond qu’elle détestait tant. Il rigolait avant de laisser entrer doucement le silence dans la pièce. Le genre de silence qui était loin d’être lourd. C’était le genre de sérénité qui voulait ire qu’il allait se passer quelque chose. Il la rejoint dans le lit, il se coucha à côté d’elle en l’enlaçant. « A quoi tu joues ? » Louhan ne comprenait pas quel était son but ni ce qu’il voulait. Il laissa planer le silence quelques seconde de plus avant de prendre la parole. « Tu es la seule que je veux. » Il l’embrassa avec une certaine passion refoulée depuis longtemps. Leur étreinte fut de bien courte durée. « Que faites-vous là ! Il est strictement interdit d’avoir une quelconque relation ici ! » Leur cria une voix furieuse. Ils avaient pris cette intrusion pour de la rigolade, ils ne s’attendaient pas à être séparée aussi tôt. Le lendemain, il était transféré ailleurs. « C’est peut-être trop tôt mais je t’aime. » Il venait de lui déclarer ses sentiments en tenant fermement son visage entre ses mains. Il lui déposa un baiser sur le front et lui fit signe de se taire lorsqu’elle voulu lui répondre. « Chut, je le sais. »

Elle est resté pas moins d'un an danc ce centre, elle avait fini par s'y faire. Le départ du jeune homme qu'elle avait appris à apprécié plus que de raison l'avait anéantie, elle se sentait à nouveau seule comme si l'une des partie qui la constituait dans son entiertée avait disparait creusé un fossé. Sa soeur était là pour elle mais ce n'était pas suffisant. Sans en parler personne, elle a sombré dans la drogue, au départ, c'était le paradis, elle se sentit si soulagée. Elle ressentait un sentiment de bonheur à l'état pur. Et puis son corps avait créer une dépendance et elle en voulait, encore et encore, elle ne voulait plus quitter son bonheur imaginaire. Personne ne l'a remarqué. Le jour de sa sortie, elle redécouvrit ce qu'étais la liberté. Mais qu'importait, elle voulait juste sa dose de plaisir. Se dégotant un dealer, elle chutait de plus en plus au point de commettre un vol dans un station essaye. Elle n'avait plus de sous, sa vie ne ressemblait plus à rien. Elle fut renvoyée dans un centre où elle devrait suivre une cure de désintoxication. Elle n'avait pas eu le choix, comme la première fois. Se sentant prise au piège à nouveau, elle conclu que sa vie n'était qu'une cycle continuel d'entrée et de sortie dans des centres. Ce jour là, dans une lucidé parfaite, elle mis fin à sa vie.

Il arrive un moment où la vie n'a plus aucun sens. Toute signe d'espoir à disparu, même la petite flamme éteint au fond de soi qui ne demandait qu'une bonne nouvelle pour se rallumer et faire jaillir de l'espoir des ténèbres. A ce moment là, il ne reste plus rien. Mise à part une mort certaine. Un dernier sourire échangé, un dernier souffle, un dernier battement de cœur et tout était fini.

Et toi alors ?

PSEUDO ici. PRÉNOM Marine. ÂGE 16 YO. PAYS Belgique. TON AVIS SUR LE FORUM Je sais pas trop, j'ai pas su attendre l'ouverture officielle, donc tu en déduis quoi ? COMMENT L'AS-TU CONNU . TON NIVEAU DE PRESENCE 6ou7 jours semaine. CODE CODE OK.

SECOND PERSONNAGE
Slowën-Audrina Carver

PRÉNOMS Slowën-Audrina. NOM Carver. ÂGE 22 ans. DATE DE NAISSANCE 05 juillet 1989. LIEU DE NAISSANCE Walley, Tennessee . MÉTIER/ÉTUDE Vendeuse dans un magasin d'habits, va peut-être reprendre des études universitaire. ORIENTATION SEXUELLE Hétérosexuelle. STATUT Célibataire. AVATAR Britany Robertson -et celui qui me sort que je l'ai choisie par rapport à la nouvelle série TSC, je -.

CARACTÈRE, TICS, HABITUDES & MANIES Quand l'envie lui prend, elle se teint les cheveux Elle adore le riz-au-lait, le tiramisu, les crêpes Son fruit et parfum deglace préférés sont le melon Elle déteste les hypocrites Elle fume comme une cheminée Pour allumer se cigarette, elle ne se sert exclusivement que d'allumettes Elle adore les animaux Elle chat se prénomme "Vampire" par rapport à ses canines pointues et son chien, un huisky croisé labrador s'apelle Smoke, ne chercher même pas à savoir pourquoi Elle déteste la drogue Elle est fan de coca cola, c'est sa boisson préférée Elle a un petit rictus amusant dès qu'elle sourit Tous les matins en se levant, elle allume la radio et se met à danser en nuisette Elle n'a jamais eu d’histoire d'amour sérieuse Elle a peur de l'engagement et de ce qu'il peut signifier Elle n'a pas beaucoup d'ami Elle s'est faite virée de plusieurs lycée L'une des raison de son renvoi est le fait qu'elle ait couché avec l'un de ses professeur C'est une jeune femme qui a du devenir indépendante dès son plus jeune âge Elle est à la recherche d'attention constamment Elle a horreur des films romantiques
Jolie petite histoire

« Bienvenue au monde Slöwen.. » La jeune femme tenait fermement son enfant dans ses bras, un sourire béant accroché aux lèvres. « Attend, non pas Slowen, Audrina ! » L'interrompu son mari avec un air sérieux scotché sur le visage. « Je pensais qu'on s'était mi d'accord pour l'appeler Slöwen .. » « Je ne vois pas quand on s'est mis d'accord. » Et un débat sans fin commença au grand regret des médecins se trouvant dans la pièce. Alors que le ton montait progressivement entre les deux parent, la sage femme fini par crier « Stop ! » Un long silence suivit ses paroles. « Vous n'allez quand même pas rester trois heures à débattre le nom de votre adorable fille quand même !? » « Et pourquoi pas ? » Fit le mari en levant les yeux au ciel. « Non mais t'es sérieux là ? C'est quoi ces gamineries ? Des fois, je me demande comment je peux être marier à un type comme toi. » Le mari fut légèrement vexé de ses parole qu'il avait pourtant l’habitude d'entendre. Aux yeux de l'infirmière, c'en était trop. « Et pourquoi ne pas faire un nom composé avec vos choix ? » C'est ainsi que les jeunes parents se mirent enfin d'accord pour le prénom de leur enfin. Ce n'était plus arrivé depuis longtemps.

Avoir des parents qui se disputes sans cesse, grandir dans cet environnement de désaccord à longueur de temps, n'avoir jamais son mot à dire, c'est un peu comme être transparent. Toute son enfance, elle a vu ses parents se déchirer sous ses yeux, elle en a souffert. Qu'importe l'âge qu'elle avait ou même sa mentalité, elle voulait juste que quelqu'un s’occupe d'elle, qu'on la chouchoute. Mais jamais elle a vécu comme une enfant normale entourée de l'amour de ses deux parents. Leurs tiraillements se retrouvaient toujours entre eux et ils oubliaient même leur fille et ça n'a jamais changé. Avec le temps, elle aurait aimé qu'ils divorcent mais ils ne voulaient rien entendre, ils ne comprenaient rien de toute manière alors elle a commencé ses conneries. Elle s'est mise à fumé, ils n'ont rien dit. Alors elle a continuer ses bêtises dans l'espoir qu'ils daignent enfin lui accorder un minimum d'attention en vain. Elle a volé, couché avec ses prof, bu au volant tout en provoquant un accident qui a failli couté la vie d'une personne. Elle les a toutes faites mais rien n'y a fait. Son envie d'avoir de l'importante aux yeux de ses parents l'a détruite peu à peu et à petit feu elle s'éteignait mais le pire n'était pas encore arrivé. Fetarde comme elle l'était, elle a essayé la drogue, u moins elle l'a fait croire, elle n'a jamais osé essayer mais pour un paris, elle a pousser sa meilleure amie à en prendre. Ce n'était qu'un jeu qui s'est transformé en la pire soirée de sa vie, n'y connaissant strictement rien, elle n'a pu sauvé son amie alors qu'elle mourrait d'une overdose. Si elle n'avait pas été saoul, peut-être aurait-elle pu la sauver. Mais peut importe, dans l'état où elle s'était retrouvée, complétement inconsciente de ses actes, en se réveillant le lendemain, elle ne se souvenait de rien. C'était le trou noir pourtant, elle avait juste envie de pleurer pour une raison inconnue, quelque chose en elle la faisait souffrir. Ce n'est que quelques jours plus tard quand on lui appris qu'elle avait tué sa meilleure amie que son monde s’écroula entièrement. Une longue dépression qui la mena vers le suicide a suivit. Elle a tout essayer mais elle n'est finalement jamais parvenue à mourir. Comme quoi en recherchant l'amour de ses parents, on peut détruire sa vie. Elle est devenue morne et infecte avec tous les gens qui l'approchaient. Malgré tout pour subvenir à ses besoins, elle a du se trouver un petit boulot et tous les matins, elle sourit faussement en témoignant de sa magnifique joie de vivre.

Spoiler:

ATTENTION !

TA FICHE EST EN DANGER ! ✖ Oulaaaa ! Attention, il ne te reste plus qu'un jour pour finir ta fiche. N'hésite surtout pas à demander un délai par mp, à un admin, avec les raisons de ta demande, afin de ne pas être supprimé. Le staff sait que sur ce forum, la création de la fiche peut être assez longue, surtout si tu as choisis un personnage réincarné. C'est pour cela que tu as 24 heures pour aller demander un délai par mp. Sinon, malheureusement, ton compte se verra supprimé. En attendant de tes nouvelles, ta fiche va être déplacée dans la partie adéquate.

FÉLICITATION !

TA FICHE EST VALIDEE ! Encore une fois, félicitation. Tu viens de prouver au staff et à tous les autres membres du forum que tu méritais ta place parmi nous, et que tu étais attaché au forum. Ta première mission est d'aller te recenser. Tu peux bien sûr créer des scénarios, qu'il te faudra également recenser. Attention, toute célébrité non recensée sera jugée vacante, et pourra donc être susceptible d'être choisie par une autre personne. Nous t'invitons à créer une fiche de lien ainsi qu'une fiche de sujets afin de faciliter ton intégration. N'oublie pas de demander un métier ainsi qu'un logement et dire lire tous les autres sujets marqués comme post-it. Ca vaut mieux si tu ne veux pas te sentir un peu largué. Tu peux également nous rejoindre sur le flood. Mais n'oublie pas de Rp, et surtout, surtout, de t'amuser parmi nous :)